
Appel à projets EXPLORE#5, soutien aux mobilités internationales
Type de contenu : Appel à projet
Publié le : 28 avril 2023
Dans le cadre du Programme d’Excellence I-SITE (P.E.I), l’Université de Montpellier (UM) lance…

Appel à projets BIOPOLIS 2023 – Projet européen teaming
Type de contenu : Appel à projet
Publié le : 26 avril 2023
Cet appel d’offre se situe dans le cadre d’un projet européen financé par le programme H2020…

Carlos Jaramillo – 120 millions d’années pour un seul homme
Type de contenu : Portrait
Grand nom de la paléontologie, le colombien Carlos Jaramillo est spécialiste de l’évolution des écosystèmes amazoniens-andins sur les derniers 120 millions d’années. Le chercheur du Smithsonian Tropical Research Institute a en particulier expliqué l’origine de l’abondante biodiversité de cette région intertropicale.

Montpellier-Sherbrooke, en tandem
Type de contenu : Agenda

Biopolis
Type de contenu : Page
Participer au développement et au rayonnement international d’un Centre de Recherche d'Excellence sur la biodiversité au Portugal, en partageant les compétences et connaissances présentes à Montpellier. Le projet BIOPOLIS, financé dans la phase 2 du programme européen H2020 Teaming, vise à transformer le laboratoire de recherche CIBIO implanté à Porto, en un Centre de Recherche, de Développement et d’Innovation d’Excellence dans les domaines de la biodiversité, l'agrobiodiversité et les services écosystémiques. Le projet s’appuie sur un transfert de compétences, de capacity building. C’est-à-dire que les partenaires doivent accompagner le centre de recherche BIOPOLIS dans son développement, son fonctionnement global ainsi que dans ses activités de R&D&I. L’Université de Montpellier est partenaire du projet aux côtés du centre de recherche portugais CIBIO ainsi que de la Porto Business School. BIOPOLIS est financé à hauteur de 15 millions d’euros sur 7 ans par le programme européen H2020 Teaming, qui tend à développer des zones dites moins avancées, en l’occurrence ici le nord du Portugal, encadrées et épaulées par d’autres zones dites plus avancées, ici la France. Le projet reçoit également un financement, à hauteur de 15 millions d'euros, de la Région Nord du Portugal, dans le cadre du programme FEDER. 3 piliers stratégiques : Évaluation et surveillance de l'environnement et de la biodiversité Fonctionnement des écosystèmes, services et restauration Agrobiodiversité, conservation et compétitivité des ressources génétiques locales et des systèmes agricoles. Nos actions Appels à projet AAP 2024 recrutement de jeunes chercheursCet appel d’offre se situe dans le cadre d’un projet européen financé par le programme H2020 Teaming (« Biopolis »). Le projet Biopolis vise à soutenir le développement au Portugal d’un centre d’excellence en recherche, développement et innovation dans les domaines de la biodiversité, l’agro-biodiversité et les services écosystémiques.En savoir + AAP commun UM-CIBIO : Education, Research and Outreach: encore OUVERTCet appel à proposition a pour objectif le financement des activités de transfert de compétences rentrant dans les WP4 (formation et éducation du personnel du centre d’excellence Biopolis), WP5 (développement du programme scientifique stratégique du centre) et WP6 (communication, diffusion et exploitation des activités du centre).En savoir + AAP 2023 recrutement doctorants/jeunes chercheursCet appel à propositions vise à l’embauche de doctorantes, doctorants et jeunes chercheuses et chercheurs sur les crédits du projet Teaming gérés par l’UM (donc avec embauche par l’UM dans des UMRs partenaires au projet BIOPOLIS). Il ouvre la voie à de nouvelles collaborations, le projet BIOPOLIS se terminant en septembre 2027.En savoir + AAP 2022 recrutement doctorants/jeunes chercheursCet appel à propositions vise à l’embauche de doctorantes, doctorants et jeunes chercheuses et chercheurs sur les crédits du projet Teaming gérés par l’UM (donc avec embauche par l’UM dans des UMRs partenaires au projet BIOPOLIS). Il soutient des projets émanant de collaborations déjà existantes entre Montpellier et le CIBIO.En savoir + EVENEMENTS
2024 Cours avancé : BigOmics Cours avancéDu 4 au 8 mars 2024CIRAD Ce cours avancé est organisé dans le cadre du projet européen “BIOPOLIS” entre l’Université de Montpellier et le CIBIO. Il se concentre sur la bio-informatique/génomique des populations pour étudier les cultures, en mettant l’accent sur la domestication et l’adaptation. Il comprend une semaine en personne au CIRAD du 4 au 8 mars, avec des présentations, des sessions pratiques et des mini-projets de recherche sur les introgressions entre les cultivars de riz. Les participants travailleront à distance avec les instructeurs jusqu'au 29 mars, présentant leurs résultats à la fin du cours. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 31 janvier en cliquant ici. 2023 Atelier de formation et de recherche sur la génomique évolutive pour les modèles végétaux et les cultures Modélisation en écologie et évolution Quand les artistes rencontrent les scientifiques - Voyage insulaire : Une autre histoire de parasites aviaires 2022 Atelier de formation et de recherche sur la génomique évolutive pour les modèles végétaux et les cultures TiBE 2022 La biologie des couleurs Les UMRs impliquées Liste des UMRS AGAP AMAP CEFE CEEM CBGP DIADE IHPE IPSIM ISEM MIVEGEC Site web BIOPOLIS This project has received funding from the European Union’s Horizon 2020 research and innovation programme under grant agreement No 857251

Master’s degree international CHARM-EU “Global challenges for sustainability” (Défis globaux pour le développement durable) – nouvelle version élargie en 2025
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L’alliance d’universités Charm-EU propose depuis 2021 un master’s degree, transdisciplinaire et international, sur la thématique de la durabilité. En cours d’accréditation, la nouvelle version de ce diplôme conjoint permettra aux futures étudiantes et étudiants de suivre un enseignement de quatre semestres (120 ECTS) commun aux neuf universités partenaires de Charm-EU. Ouverture des inscriptions du 24 février au 16 mars 2025. Ouverture des inscriptions le 24 février 2025 Quels débouchés ? Résolument transdisciplinaire, cette formation inédite s’adresse aux titulaires d’un diplôme de niveau licence, quelle qu’en soit la discipline, qui souhaitent acquérir des connaissances avancées en matière de développement durable et relever les défis sociétaux mondiaux. Particulièrement innovant, son modèle pédagogique permet aux étudiantes et étudiants de devenir des « managers de la complexité » pour imaginer et piloter des projets en lien avec des défis de société liés à l’eau, à l’alimentation, à la santé et aux sciences du vivant ou encore à l’énergie et aux villes durables. Une collaboration entre 9 universités prestigieuses Dans sa nouvelle version, ouverte aux inscriptions en février 2025, ce diplôme européen est délivré conjointement par neuf universités membres de l’alliance Charm-EU : l’Université de Barcelone (Espagne), Trinity College Dublin (Irlande), l’Université d’Utrecht (Pays-Bas), l’Université Eötvös Loránd de Budapest(Hongrie), l’Université de Montpellier, l'Université d’Åbo Akademi (Finlande), l'Université de Würzburg (Allemagne), l'Université des sciences appliquées de la Ruhr-West (Allemagne), l'Université de Bergen (Norvège). Hybride, l’enseignement est réalisé de façon synchrone par des équipes d’enseignantes et d’enseignants des neuf institutions internationales. Des équipes interdisciplinaires qui mettent leurs compétences et expertises en commun pour offrir la meilleure expérience aux étudiantes et étudiants présents sur les neuf campus. Ce diplôme se déroule sur deux ans, soit quatre semestres, et offre de nombreuses opportunités de mobilité qui permettent d’étudier dans plusieurs universités partenaires durant la formation. A noter qu’au moins une mobilité d’un semestre dans une des universités de l’alliance est obligatoire. 1er semestre Une phase préparatoire composée de 3 modules obligatoires : Innovation sociale, durabilité et recherche transdisciplinaire. 2e semestre Une phase flexible composée de plusieurs modules, avec la nécessité pour l’étudiant ou l’étudiante de choisir l’un des quatre parcours suivants : Eau : Variations extrêmes dans le cycle de l’eau et leurs conséquences complexes Mesures et stratégies d’adaptation dans la gestion de l’eau Villes résilientes : l’eau dans des environnements urbains Santé et sciences de la vie : Systèmes et politiques de santé Défis sanitaires Vies saines et bien-être Alimentation : Lien entre alimentation, santé et environnement Systèmes alimentaires et leurs transformations Systèmes alimentaires socialement justes et durables Energie et villes durables : Technologies émergentes et villes intelligentes Urbanisme durable Gestion de ressources et résilience Politique, changement climatique et futur des villes durables 3e semestre Une phase d’expérimentation qui donne la possibilité de faire un stage en milieu professionnel dans différents types d’organisations (entreprise privée, institution publique, organisation non gouvernementale, laboratoire de recherche…). 4e semestre Au cours de cette phase intitulée Capstone, les étudiantes et étudiants travaillent en collaboration avec leurs pairs, le personnel académique et des actrices et acteurs extra-universitaires (par exemple, des entreprises ou associations) sur un défi concret de durabilité en Europe, ou dans le monde. Un modèle pédagogique unique Le diplôme “Global challenges for sustainability” (Défis globaux pour le développement durable) est centré sur les étudiantes et étudiants qui deviennent ainsi acteurs de leur apprentissage. Basé sur la résolution de problèmes authentiques et concrets, ce programme offre l’opportunité aux étudiantes et étudiants de travailler en lien avec des pairs internationaux et des acteurs de la société civile sur la résolution de problématiques sociétales complexes en lien avec le développement durable. Il met également en place une méthode d’évaluation innovante par compétences, avec un accompagnement individuel par un mentor tout au long du cursus et des retours réguliers sur les résultats et les moyens à mettre en œuvre pour progresser. Qui peut faire cette formation ? La formation étant transdisciplinaire, tous les profils sont les bienvenus. Les admissions sont ouvertes aux étudiants titulaires d’une licence, quelle qu’en soit la discipline. Il sera demandé au candidat de justifier d’un niveau C1 en anglais au début de la formation en septembre 2025. A savoir que ce diplôme est reconnu en France comme un diplôme d’établissement conférent grade de master. Frais d’inscription ? 5 000 € pour les étudiantes et étudiants bénéficiant de la citoyenneté européenne. 24 000 € pour les étudiantes et étudiants hors Europe. Important : les étudiantes et étudiants européens (UE/ AELE) ayant effectué leur dernière année d’étude en France bénéficient d’une gratuité des frais d’inscriptions. Des bourses de mobilité sont disponibles, notamment par le biais du programme Erasmus+. Comment candidater ? Les inscriptions sont ouvertes du 24 février au 16 mars 2025. Toutes les informations sur les cours et les modalités de candidature en ligne sont disponibles sur le site web Charm-EU. Une session d’information en ligne se déroule le 11 mars à 17h, il est possible d’envoyer ses questions au préalable sur le lien d’inscription. https://www.youtube.com/shorts/HMhK5Kjq_FM

Université européenne CHARM-EU
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L'Université de Montpellier est membre de l’alliance d’Université européenne CHARM-EU depuis 2019, aux côtés de huit autres universités prestigieuses en Europe. Ensemble, nous travaillons à concevoir et créer un nouveau modèle universitaire unique en son genre visant à améliorer la qualité, la compétitivité internationale et l'attractivité de l'enseignement supérieur européen. Les Universités européennes sont des alliances d'établissements d'enseignement supérieur européens financées par l'Union européenne et soutenues par le gouvernement français. Elles visent à offrir de nouvelles opportunités d'apprentissage, de recherche et d'innovation à leurs communautés, tout en contribuant à l'excellence européenne et au rayonnement mondial de l'enseignement supérieur et de la recherche en Europe. L'initiative a débuté en 2018 avec 41 alliances d'établissements et se poursuit avec un objectif d'atteindre 60 Universités européennes d'ici 2025. CHARM-EU, c’est la combinaison d’universités de différents pays européens avec des cultures, des traditions et des forces académiques différentes. Nous croyons que cette diversité est un atout pour nous permettre de développer une approche innovante et collaborative en matière d'enseignement et de recherche. La vision de CHARM-EU : réconcilier l'humanité avec la planète L’alliance universitaire capitalise sur l’expertise développée dans le cadre des multiples partenariats existants entre ses membres et sur leur participation au groupe de Coimbra. Les opportunités qu’offrent une telle association sont infinies. Faire tomber les barrières, renforcer la coopération, favoriser la mobilité, développer une identité européenne, créer de nouvelles opportunités… tels sont les objectifs de CHARM-EU et les clés pour faire face aux grands défis de demain. Proposer des enseignements fondés sur la mobilité et l'inclusion, conçus par des équipes interculturelles et interdisciplinaires. Offrir un modèle d'enseignement innovant, axé sur les défis, centré sur l'étudiant, interdisciplinaire et ouvert sur le monde, qui puisse devenir un exemple pour toutes les universités d'Europe. Développer un programme scientifique commun basé sur les principes de recherche et l'innovation responsables, d'innovation liée au genre, d'égalité et d'inclusion, de transdisciplinarité et de science ouverte. Promouvoir le développement professionnel continu du personnel pour permettre l’échange de bonnes pratiques et le développement des carrières. Renforcer les liens entre la recherche et l'éducation en intégrant des partenaires externes, au niveau régional, national, européen et mondial. En développement constant, CHARM-EU propose régulièrement de nouvelles activités pour les étudiants, le personnel académique et administratif, ainsi que les partenaires externes. Rejoignez l'aventure CHARM-EU et découvrez les nombreuses opportunités offertes par cette alliance prestigieuse ! Premières actions phares Un diplôme d’établissement interdisciplinaire conférant grade de master « Défis globaux pour le développent durable ». L’enseignement est proposé conjointement de manière hybride dans cinq universités de CHARM-EU et les étudiants ont des possibilités de mobilité dans un campus différent à chaque semestre. De nombreuses opportunités de mobilité dans les universités de l’alliance, pour les étudiants comme pour le personnel. Pour plus d’information, prendre directement attache avec le bureau des relations internationales de sa composante. Une boîte à outils en ligne contenant toutes les ressources développées par CHARM-EU que ce soit sur le modèle d’enseignement, la gouvernance, la mobilité ou l’inclusion par exemple. Des équipes pédagogiques et de recherche interdisciplinaires, les « Knowledge Creating Teams », permettant d’échanger avec des collègues des universités de l’alliance et proposer d’éventuelles initiatives et projets communs. Un accompagnement des responsables de formation pour « CHARMifer » leurs enseignements, c’est-à-dire par exemple les internationaliser, expérimenter l’approche par compétences ou développer l’inclusion de leurs programmes.

Dispositifs régionaux, nationaux et internationaux
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Notre ambition, attirer des scientifiques de haut niveau et faciliter l’intégration de jeunes scientifiques à fort potentiel Pour renforcer l’excellence du positionnement scientifique à l’international et l’attractivité du site de Montpellier, l’I-SITE « Montpellier Université d’Excellence » met en place un programme d’attractivité. Il permet d’accueillir des chercheurs internationaux avec le soutien de dispositifs régionaux, nationaux et internationaux (ATIP-AVENIR, MOPGA, UNESCO) ou de scientifiques invités au sein de l’Institut d’études avancées MAK’IT. Ce programme bénéficie du soutien de la Région Occitanie et de l’État pour les lauréats MoPGA. Démarche Les dossiers sont proposés par les établissements impliqués par l’accueil sur le site, et chaque proposition est jugée sur l’excellence du parcours du candidat, sa capacité à prendre rapidement des responsabilités scientifiques et sur l’intérêt stratégique ou structurant du projet pour l’Université de Montpellier et ses partenaires de l’I-SITE MUSE. Chaque chaire, d’une durée de 3 ans au plus, sera dédiée à l’accueil du candidat, à sa rémunération et/ou à son environnement contribuant la mise en œuvre de son projet de recherche. Chaires MUSE Johanna Calderon Chercheuse en neuropsychologie et psychiatrie à Harvard University jusqu’en 2020, Johanna Calderon, a pris en janvier 2021 la tête d’une chaire d’attractivité MUSE à l’Université de Montpellier en neuro-développement des pathologies cardiaques congénitales au sein de l’unité de recherche PhyMedExp (UM,Inserm, CNRS, CHU Montpellier). En savoir + Julie Josse En provenance de l’Ecole Polytechnique, la chercheuse Inria Julie Josse, spécialiste de l’inférence causale devrait rejoindre prochainement l’Institut Desbrest d’Épidémiologie et de Santé Publique (IDESP) qui figure parmi les nouvelles structures de recherche de l’UM dans le cadre du contrat 2021-2026. En savoir + Alpha Keita Recruté par TRANSVIHMI et CERFIG dès 2018 et en poste à l’UM depuis 2020, titulaire d’un diplôme en médecine de l’Université de Conakry (Guinée) et docteur en infectiologie (AMU), Alpha Kabinet Keita est à la tête d’un programme de recherche sur le virus Ebola et il est l’un des 54 « ambassadeurs » du Next Einstein Forum, plate-forme qui relie science, société et politique en Afrique et dans le reste du monde – pour le développement humain. En savoir + Fabienne Remize Spécialiste des microorganismes du vin, la biologiste Fabienne Remize, en poste jusqu’en décembre 2020 à l’Université de la Réunion, intègre en janvier 2021 l’Université de Montpellier pour prendre la direction d’une grande unité, l’UMR Sciences pour l’œnologie (SPO : Université de Montpellier, Inrae, Institut Agro – Montpellier SupAgro) dans le cadre du programme d’attractivité de l’I-SITE MUSE. En savoir + RandalL J. Wisser Randall J. Wisser,
Directeur de Recherche INRAE
UMR Laboratoire d’Écophysiologie des Plants sous Stress Environnementaux (LEPSE)
INRAE, Institut Agro Arrivé de l’Université du Delaware (USA),Randall J. Wisser, généticien quantitatif de renommée internationale, a pris ses fonctions en janvier 2021 de directeur de recherche de l’INRAE au sein du Laboratoire d’Ecophysiologie des Plantes sous Stress Environnementaux à Montpellier pour œuvrer à de nouveaux partenariats et travailler à l’interface de la génétique quantitative et de l’écophysiologie des céréales. Cette arrivée fait suite à une mobilité EXPLORE, le programme de mobilité internationale de MUSE. En savoir + Attractivité de chercheurs ATIP-AVENIR Maud Borensztein Après un post-doc à l’Université de Cambridge (GB) et deux ans en tant que chargée de recherche à l’Institut Curie de Paris, Maud Borensztein intégre l’IGMM (UM, CNRS) en décembre 2020. Soutenue par MUSE et des fonds FRM et ATIP-AVENIR, elle démarre son équipe et finance des travaux qui visent à mieux comprendre le mécanisme épigénétique de la réactivation du chromosome X dans les cellules germinales femelles (ovocyte). Jakub GRUSZCZYK Jakub GRUSZCZYK, lauréat ATIP-AVENIR rejoint en décembre 2020 l’UMR CBS (UM, CNRS, Inserm) pour occuper une chaire junior autour des questions liées à la santé environnementale. Son projet de recherche porte sur la caractérisation structurale et le fonctionnement de la voie de signalisation impliquée dans la détoxification de polluants chimiques chez l’homme. Plus d’information prochainement. Karim MAJZOUB Karim MAJZOUB, actuellement chercheur du programme Marie Skłodowska-Curie (Inserm), est lauréat ATIP-AVENIR 2020. Il intégrera l’IGMM (UM, CNRS) en juillet 2021 pour constituer et animer une équipe qui orientera ses travaux sur des recherches originales ciblant les interactions entre génome viral (ADN pour HBV, ARN pour HDV) et protéines cellulaires nécessaires à la réplication et à la persistance de ces virus dans l’hépatocyte. Attractivité de chercheurs MOPGA en partenariat avec l’État et la Région Occitanie Carol Lee Arrivée de l’Université du Wisconsin (USA) en été 2019, Carol Lee développe son projet Rapid Evolutionary Responses to Global Transformations in Salinity and Temperature au sein de l’UMR MARBEC (CNRS, Ifremer, IRD, UM) en collaboration avec le CEFE (CNRS, EPHE, INRA, IRD, SupAgro, UM, UM3) dans le cadre du programme MOPGA. Delphine Renard Après un Post-doc à l’Université de Californie (USA), Delphine Renard développe, depuis janvier 2018, au sein du Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE, CNRS/UM) un éclairage nouveau sur les apports de l’agrobiodiversité dans la réduction de l’impact de la production agricole sur l’instabilité et les chocs climatiques avec le projet ASSET AgrobiodiverSity for a food-Secure PlanET conduit dans le cadre du Programme Make our Planet Great Again. Elle est désormais chercheuse titulaire au CNRS. Vincent Vadez De retour de l’IRCISAT en Inde, Vincent Vadez développe le projet de recherche ICARUS au sein de l’UMR DIADE (IRD / UM) afin de trouver des réponses au problème dual de la sécheresse et du changement climatique sur les plantes, notamment céréalières, afin de comprendre comment elles peuvent être amenées à mieux réguler les pertes en eau. Ce projet entre dans le cadre du programme Make our Planet Great Again. Chaire UNESCO en partenariat avec la Région Occitanie Edgar Morin Philosophe et anthropo-sociologue français, le penseur moderne de la Complexité, Edgar Morin, a publié pas moins de 40 ouvrages dans sa carrière, traduits dans le monde entier. Directeur de recherche émérite du CNRS et Docteur Honoris Causa de plusieurs universités internationales, Edgar Morin est, avec sa Chaire UNESCO sur la Complexité depuis décembre 2018 à l’Université de Montpellier pour réfléchir aux enjeux sociétaux portés par l’I-SITE MUSE.

HRS4R – label “HR Excellence in Research”
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Depuis mars 2015, en devenant la 1ère université française à recevoir de la Commission Européenne le label “HR Excellence in Research” l’Université de Montpellier déploie une stratégie de ressources humaines pour la recherche (Human Resources Strategy for Researchers, ou HRS4R) qui traduit son engagement à faire évoluer ses pratiques et à se rapprocher des recommandations de la Charte européenne du chercheur et du Code de conduite pour le recrutement des chercheurs (C&C). Ces deux textes adoptés en 2005 par la Commission Européenne (CE) visent à promouvoir les métiers de la recherche en Europe. PROJET INITIAL Depuis plusieurs années, l’UM met en œuvre sa stratégie de ressources humaines pour la recherche, également appelée HRS4R, acronyme de Human Resources Strategy for Researchers. Partie prenante de la stratégie institutionnelle, HRS4R vise à soutenir la recherche et à promouvoir l’excellence en matière de ressources humaines pour la recherche en favorisant de bonnes conditions de travail, un recrutement ouvert, transparent, basé sur le mérite (OTM-R), et l’accompagnement des carrières. Télécharger le dossier initial : stratégie de ressources humaines pour la recherche Télécharger EVALUATION À MI-PARCOURS HRS4R est une démarche qualité, fondée sur le principe d’amélioration continue, pour laquelle l’UM a mis en place un suivi régulier (avec auto-évaluation et mise à jour du plan d‘action à mi-parcours et en fin de cycle). Attribué pour une durée initiale de 5 ans, le label est renouvelable par cycles de 3 ans. Réalisée en mars 2017, une auto-évaluation à mi-parcours avait été évaluée positivement par la Commission européenne et avait donné lieu à la révision du plan d’action pour 2017-2019.Véritable atout pour l’obtention de financements, en particulier européens, cette certification contribue à sécuriser les financements européens reçus par l’UM (Article 18 dans Horizon Europe) et confère à l’établissement une visibilité et une attractivité accrues sur le plan national et international. RENOUVELLEMENT DU LABEL En 2024 Durant l’année académique 2023-2024, l’UM a procédé à une auto-évaluation de fin de cycle, basée sur la conduite d’enquête auprès de la communauté recherche de l’UM et sur un travail trans-directionnel. Cela a permis de faire émerger un nouveau plan d’action pour la période 2024-2027. Les éléments du dossier de renouvellement, approuvés par le Conseil d’Administration du 18 novembre 2024 sont soumis à la Commission Européenne pour validation. Ils comprennent : Le rapport HRS4R 2024 L’état d’achèvement du plan HRS4R 2020-2023 La Charte OTM-R de l’UM mise à jour Le plan d’action HRS4R révisé pour la période 2024-2027 Les résultats de l’enquête HRS4R 2024 Cette nouvelle demande de renouvellement de label ne fera pas l’objet d’un audit sur site par les experts de la Commission Européenne. Renouvellement précédent (2021) Courant 2020, l’UM a procédé à une auto-évaluation de fin de cycle, basée sur la réflexion collective et sur un travail trans-directionnel, qui a permis de faire émerger un nouveau plan d’action pour la période 2020-2023. Les éléments du dossier de renouvellement, approuvés par le Conseil d’Administration du 14 décembre 2020 et validés en juin 2021 par trois experts de la Commission Européenne, comprennent : Le rapport HRS4R 2020 L’état d’achèvement du plan HRS4R 2017-2019 La Charte OTM-R de l’UM Le plan d’action HRS4R révisé pour la période 2020-2023 Après une évaluation puis un audit sur site en juin 2021, les rapporteurs de la Commission Européenne ont donné un avis favorable à la demande de renouvellement du label européen “HR Excellence in Research” de l’Université de Montpellier. L’UM renouvelle ainsi son label d’excellence pour un cycle de trois ans (jusqu’en 2024). Cette décision conforte la stratégie de ressources humaines pour la recherche (HRS4R) déployée par l’UM depuis 2015 qui vise à soutenir les métiers de la recherche en améliorant l’accompagnement des chercheuses et chercheurs dans leur carrière, favorisant leurs conditions de travail et leur mobilité dans l’espace européen tout en renforçant l’attractivité de l’Université.

Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES)
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L’université de Montpellier a remporté un appel d’offre publié par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et accueille à présent l’unité d’appui technique qui coordonne une évaluation soutenue par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). Au sein de la Direction des Programmes Structurants de l’Université de Montpellier (DPS), qui assure la coordination des programmes emblématiques de l’établissement, le projet IPBES est rattaché au service d’appui à l’international et à l’attractivité des programmes structurants (SAIA). L'évaluation des changements transformateurs L’évaluation vise à déterminer et comprendre les facteurs dans la société humaine, au niveau tant individuel que collectif et de l’échelle locale à l’échelle mondiale, qui peuvent être mobilisés pour amener des changements transformateurs afin d’assurer la conservation, la restauration et l’utilisation durable de la biodiversité, en tenant compte des facteurs sociaux et économiques dans le contexte des Objectifs de Développement Durable. OBJECTIFS
L’objectif général de l’IPBES est de renforcer l’interface science-politique pour la biodiversité et les services écosystémiques en vue de la conservation et de l’utilisation durable de la biodiversité, du bienêtre humain à long terme et du développement durable. L’évaluation s’intitule “Évaluation thématique des causes profondes de l’érosion de la biodiversité, des déterminants des changements transformateurs et des solutions pour réaliser la Vision 2050 pour la biodiversité”. Elle s’inscrit dans la Vision 2050 de la Convention sur la diversité biologique et de son cadre mondial de Kunming-Montréal pour la biodiversité adopté en décembre 2022 par ses Etats parties. L’évaluation mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques de la Plateforme (2019) a conclu qu’il existait des voies possibles pour concrétiser la Vision 2050 pour la biodiversité parallèlement aux principaux objectifs de développement humain. Toutefois, ces voies exigent des changements fondamentaux au niveau des paradigmes du développement et des dynamiques socio-écologiques, ce qui entraîne des transformations de la société, en prenant en compte les inégalités et la gouvernance, en utilisant les terres, l’eau, l’énergie et les matériaux de façon bien plus durable ainsi qu’en repensant et modifiant de manière appropriée les habitudes de consommation, les systèmes alimentaires et les chaînes de valeur mondiales. L’évaluation éclairera les décideurs sur les options pour mettre en œuvre des changements transformateurs en vue de réaliser la Vision 2050 pour la biodiversité et les objectifs de développement durable. L’évaluation devrait également éclairer des politiques infranationales, nationales, régionales et mondiales concernant la préservation et l’utilisation durable de la biodiversité et des écosystèmes, des ressources naturelles et des contributions de la nature aux populations. Cibles : les gouvernements ; les organes directeurs d’accords multilatéraux sur l’environnement ; les décideurs au sein des cadres politiques mondiaux, les gouvernements infranationaux et les autorités locales ; les scientifiques ; les systèmes d’éducation et les médias ; le secteur privé et la société civile, y compris les populations autochtones et les communautés locales, les jeunes, les femmes et les organisations non gouvernementales. L’évaluation prendra en compte - à différentes échelles dans le monde - les dimensions psychologiques, comportementales, sociales, culturelles, économiques, politiques, de gouvernance, institutionnelles, démographiques, techniques et technologiques, qui ont toutes un impact sur la biodiversité. Qu’est-ce que les changements transformateurs ? Aux fins de l’évaluation et dans la lignée des précédents travaux de l’IPBES approuvés par la Plénière de cette dernière, les changements transformateurs sont définis comme une réorganisation en profondeur à l’échelle du système de l’ensemble des facteurs technologiques, économiques et sociaux, y compris des paradigmes, des objectifs et des valeurs. Chapitres de l'évaluation
L’évaluation sur les changements transformateurs s’articule en cinq chapitres rédigés par cinq sous-groupes d’auteurs. Chaque chapitre a des objectifs bien précis. Chapitre 1 : Changements transformateurs et un monde durable Définition des changements transformateurs et explique en quoi ils sont nécessaires. Exploration de tous les acteurs qui influent sur la dégradation de la biodiversité et l’impactent. Réflexion sur la manière dont le cadre spatio-temporel complique ou facilite les changements transformateurs. Cadre et feuille de route pour l’évaluation. Chapitre 2 : Visions d’un monde durable pour la nature et les populations Réflexion sur les défis que peuvent présenter les changements transformateurs, en s’appuyant sur la science et sur la diversité des normes et des valeurs dans le monde. Présentation de différentes valeurs et visions pour un monde durable, ainsi que des scénarios qui les illustrent. Chapitre 3 : Comment interviennent les changements transformateurs Présentation de la manière dont les changements transformateurs interviennent avec un focus sur les changements qui peuvent être intentionnellement favorisés, accélérés et calibrés afin de parvenir à un monde durable. Compréhension de ces changements délibérés pour mettre en lumière les moyens de générer et nourrir ces changements. Chapitre 4 : Surmonter les défis liés aux changements transformateurs en vue d’un monde durable Evaluation des obstacles qui entravent les changements transformateurs. Elaboration de stratégies pour surmonter ces obstacles afin de promouvoir les visions mondiales, locales et régionales d’un monde durable pour la nature et les populations. Chapitre 5 : Réaliser un monde durable pour la nature et les populations : stratégies transformatrices, mesures et rôle de chacun Evaluation des options concernant les institutions, les instruments, l’évaluation et les voies pour réaliser les visions d’un monde durable présentées par les chapitres précédents. Elaboration de scénarios souhaitables et des moyens d’y parvenir incluant des options et actions à court terme (jusqu'à 10 ans), moyen terme (10-20 ans) et long terme (20-50 ans). Composition de l'équipe 3 co-présidents : Lucas Garibaldi (Argentine), Karen O’Brien (Norvège), Arun Agrawal (Etats-Unis) 15 auteurs coordinateurs principaux 61 auteurs principaux 10 éditeurs-réviseurs 12 jeunes chercheurs 102 auteurs au total Comité de gestion : Markus Fischer, Madhav Karki, Özden Görücü, David Obura, Floyd Homer Unité d’appui technique : Laurence Perianin (responsable), Camille Guibal (chargée de programme), Anouk Renaud (assistante de programme) Chronologie
L’évaluation se déroule sur trois ans, de 2022 à 2024 avec une phase d’approbation de l’évaluation et de sélection de l’équipe en 2021. 2021 Juin : Approbation de la réalisation de l’évaluation des changements transformateurs par la 8ème Plénière de l’IPBES (décision IPBES-8/1). 26 août : Ouverture des nominations d’experts les gouvernements et les parties prenantes. 2022 Janvier : Nomination par l’IPBES des coprésidents, des auteurs coordinateurs principaux, des auteurs principaux et des éditeurs-réviseurs de l’évaluation. Avril : Création de l’unité d’appui technique de l’évaluation au sein de l’université de Montpellier. 9 au 13 Mai : Première réunion des auteurs à Montpellier avec toute l’équipe de l’évaluation : les coprésidents, les auteurs coordinateurs principaux, les auteurs principaux, les éditeurs-réviseurs, les membres de l’unité d’appui technique et le comité de gestion de l’évaluation. 2023 3 février au 17 mars : Première revue externe (6 semaines) – projets de chapitres mis à disposition pour examen par le public sur le site internet de l’IPBES. 22 au 26 mai : Deuxième réunion des auteurs avec l’équipe de l’évaluation au grand complet, sur le campus CATIE au Costa Rica. 27 au 29 mai : Première réunion de rédaction du résumé à l’intention des décideurs (summary for policy makers ou SPM) avec le comité de gestion de l’évaluation et les auteurs coordinateurs principaux. 30 mai : webinaire de renforcement des capacités réalisé en direct du campus CATIE et retransmis à l’UM à destination de la communauté scientifique. 22 août au 2 septembre : 10ème réunion plénière de l’IPBES – Point d’étape sur l’évaluation. 27 au 29 septembre : Seconde réunion de rédaction du résumé à l’intention des décideurs. 4 décembre 2023 au 2 février 2024 : Deuxième revue externe (8 semaines) des projets de chapitres et du projet de résumé à l’intention des décideurs mis à disposition sur le site internet de l’IPBES pour examen par le public. 2024 19 au 23 février : Troisième réunion des auteurs. 18, 25 et 26 février : Troisième réunion de rédaction du résumé à l’intention des décideurs. 24 au 26 avril : Quatrième réunion de rédaction du résumé à l’intention des décideurs. 1er juillet au 11 août : Revue additionnelle du projet des chapitres et du résumé à l’intention des décideurs par les gouvernements. 15 octobre au 26 novembre : Revue externe finale (6 semaines) – version finale du projet de résumé à l’intention des décideurs et des chapitres mis à disposition pour examen par les gouvernements. 10 au 16 décembre : Examen par la 11ème plénière de l’IPBES du résumé à l’intention des décideurs pour négociation/approbation et présentation des chapitres pour acceptation. Post-approbation de l’évaluation : activités d’édition et de communication suite à l’adoption de l’évaluation. Publication du rapport de l'IPBES Planète en péril : le rapport de l'IPBES révèle des options pour réaliser le changement transformateur nécessaire de toute urgence pour mettre fin à l'effondrement de la biodiversité. L'accent est mis sur les causes sous-jacentes de la crise de la biodiversité et les options pour un monde juste et durable. Agir immédiatement pourrait générer 10 000 milliards de dollars en valeur. Téléchargez le communiqué de presse de l'IPBESTélécharger Consultez le résumé du rapport à l'intention des décideurs politiquesTélécharger

“Accélérer les transitions vers le développement durable”
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Lancé en mars 2019 dans le cadre du Programme d’Excellence I-SITE « Montpellier Université d’Excellence » (MUSE), le Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions (MAK’IT) est un nouveau venu parmi les Instituts d’Etudes Avancées (IEA). Lieu de développement des connaissances, de rencontre et d'interface entre l'écosystème local et la science internationale, MAK’IT vise à stimuler la contribution des communautés scientifiques à l’analyse, l’accompagnement et l’accélération des transitions nécessaires à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, de l’environnement et de la santé. Outil d’intelligence collective, l’Institut encourage les échanges interdisciplinaires et le développement d’approches nouvelles et de méthodologies de recherche innovantes, en étroite collaboration avec les décideurs politiques et les citoyens. Vision Les Objectifs de Développement Durable (ODD), tels qu’adoptés sous l’égide des Nations Unies, invitent à une profonde transformation de nos sociétés, vers des modèles plus innovants, intégratifs et adaptatifs. Cette transformation repose sur une série de transitions majeures à orchestrer au croisement des domaines de la santé, de l’environnement et du climat, de l’agriculture et de l’alimentation. Du local au global, elles représentent, pour la recherche, autant de défis à accompagner. Renouveler les lieux et formes de mobilisation de la connaissance scientifique et inventer de nouvelles enceintes où appréhender les controverses, multiples, suscitées par ces changements, c’est l’objectif que s’est fixé MAK’IT. Fonctions Programmer : contribuer à la programmation de la recherche sur les transitions et renforcer la mise en place d’une école de pensée aux niveaux local, national et international. Se projeter : identifier et stimuler la réalisation d’exercices de prospective afférents, et renforcer l’expertise scientifique et les capacités nécessaires à la mise en œuvre des transitions. Influencer : alimenter les débats au sein d’instances nationales et internationales où se pensent et s’opèrent les transitions, en jouant le rôle d’interface science-société et science-politique. Activités Accueil de chercheurs internationaux
MAK’IT offre à des chercheurs internationaux de tous horizons géographiques et disciplinaires la possibilité d’un séjour de recherche de plusieurs mois à Montpellier. L’Institut anime leurs échanges et accompagne leurs interactions avec la communauté scientifique montpelliéraine et le monde extra-académique. Libérés de leurs obligations quotidiennes, ces chercheurs mènent, individuellement ou en groupe, le projet scientifique de leur choix, en lien avec les structures de recherche montpelliéraines. Ces projets se caractérisent par une approche interdisciplinaire forte centrée sur l’analyse des controverses, des méthodologies et axes de recherche innovants, des interactions science-société réelles et un impact sur les transitions vers le développement durable. Les candidatures à un séjour au sein de l’Institut sont soumises à un processus d’évaluation sélectif par le Conseil scientifique de MAK’IT, composé d’experts internationaux indépendants. Celui-ci se réunit deux fois par an pour évaluer les dossiers déposés dans le cadre des appels à candidatures principaux de l’Institut : « SCIENTIFIQUES INVITES », « COHORTE », « French Institutes for Advanced Study » (FIAS) et « Constructive Advanced Thinking » (CAT). Organisation d’évènements de portée internationale à Montpellier
Afin de renforcer l’implication des communautés scientifiques dans le débat public, MAK’IT organise tout un programme évènementiel autour des accueils de chercheurs internationaux. Des rendez-vous hebdomadaires entre chercheurs-résidents leur permettent de discuter de l’impact de leurs travaux au-delà des frontières disciplinaires et sectorielles. Des temps d’échanges mensuels, les « MAK’IT Talks », associant universitaires et chercheurs, décideurs politiques, représentants de la société civile et du secteur privé favorisent la réflexion autour d’enjeux en lien avec les défis sociétaux présents et futurs. Partenariats et élaboration d’initiatives européennes et internationales en lien avec les ODD
MAK’IT collabore avec d’autres organismes, espaces, think tanks de même nature ou s’intéressant à des thématiques similaires, avec un accent particulier sur l’accélération des transitions vers le développement durable et le renforcement des capacités scientifiques dans les pays des « Suds ». L’Institut a notamment tissé des partenariats privilégiés avec les réseaux français (RFIEA), européen (NetIAS) et international (UBIAS) d’Instituts d’Etudes Avancées. Véritable laboratoire du changement, MAK’IT s’engage à ce que les conclusions de ses travaux soient utiles aux générations futures et stimulent leur engagement en faveur du développement durable. Outre une diffusion large de ses publications, l’institut encourage notamment le déploiement de contenus pédagogiques et de cursus d’enseignements innovants. Spécificités Inscription dans le cadre global du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des Objectifs de Développement Durable (ODD) 3 domaines d’action privilégiés : agriculture & alimentation, environnement et santé Dialogue renforcé entre sciences du vivant et sciences sociales Interface science-politique-société et approche originale par le biais du traitement de controverses sociétales Focus géographique sur les « Suds » (« Leaving no scientific community behind ») Ancrage dans un maillage scientifique local et au sein d’un réseau de partenaires universitaires et institutionnels internationaux dense

Attractivité scientifique
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Ouverte sur le monde, l’Université de Montpellier contribue à la structuration de l’espace européen de l’enseignement supérieur et renforce son positionnement à l’international et son attractivité, en lien étroit avec ses partenaires du Programme d’excellence I-SITE, à travers des dispositifs adaptés aux grands enjeux scientifiques qu’elle porte. Dispositifs régionaux, nationaux et internationaux Chaires du programme d’excellence I-SITE, ATIP-AVENIR, MOPGA, UNESCO… Autant de dispositifs mis en place avec le soutien du programme d’excellence I-SITE, pour attirer des scientifiques de haut niveau et faciliter l’intégration de jeunes chercheuses et chercheurs à fort potentiel au sein de nos structures de recherche. Certains de ces programmes reçoivent un soutien de la Région Occitanie et/ou de l’État. En savoir + Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions (MAK’IT) Le Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions (MAK’IT) est l’Institut d’Etudes Avancées (IEA) de l’Université de Montpellier et de ses partenaires du programme d’excellence I-SITE. En s’appuyant sur des approches inter- et trans-disciplinaires innovantes, via l’accueil de chercheurs étrangers mondialement reconnus et l’organisation d’évènements de portée internationale à Montpellier, il vise à stimuler la contribution des communautés scientifiques à l’accélération des transitions nécessaires à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, de l’environnement et de la santé. En savoir + Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES) L’Université de Montpellier a été choisie pour accueillir l’unité d’appui technique de l’Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES). Un choix qui place Montpellier au cœur des enjeux liés à la biodiversité à l’échelle mondiale. L’évaluation vise à déterminer et comprendre les facteurs dans la société humaine, au niveau tant individuel que collectif et de l’échelle locale à l’échelle mondiale, qui peuvent être mobilisés pour amener des changements transformateurs afin d’assurer la conservation, la restauration et l’utilisation durable de la biodiversité, en tenant compte des facteurs sociaux et économiques dans le contexte des Objectifs de Développement Durable. En savoir + Une université labellisée « HR Excellence in Research » Depuis mars 2015, en devenant la 1ère université française à recevoir de la Commission Européenne le label “Human Resources Excellence in Research” (HRS4R), l’Université de Montpellier déploie une stratégie de ressources humaines pour la recherche qui traduit son engagement à faire évoluer ses pratiques et à se rapprocher des recommandations européennes pour mieux accompagner les chercheuses et chercheurs dans leur carrière, favoriser leurs conditions de travail et leur mobilité dans l’espace européen tout en renforçant l’attractivité de l’Université à l’échelle européenne. En savoir +

François Pierrot, élu vice-président Relations Internationales
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Eau et ville durable : les solutions du futur émergent à Montpellier !
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C’est sur le thème « Eau et Ville durable » que plus de 400 étudiantes et étudiants,…

Oussama Khatib : plongée dans la robotique
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Avec son robot plongeur-archéologue Ocean One, le directeur du Robotics lab de Stanford et chercheur à la renommée mondiale Oussama Khatib, braque les projecteurs sur les mystères des abysses et de la robotique. Le 20 février dernier, c’est sur les recommandations de ses pairs français Philippe Poignet, Vincent Creuze et Philippe Fraisse, tous trois chercheurs en robotique au Lirmm, que le franco-américain a reçu le titre de docteur honoris causa de l’Université de Montpellier.

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