Résultats de recherche

https://youtu.be/RvoapzUL1wc L’objectif général de l’UMR concerne l’étude de la biodiversité marine des écosystèmes lagunaires, côtiers et hauturiers à différents niveaux d’intégration (moléculaire, individu, population et communauté), et des usages de cette biodiversité par l’Homme. S’appuyant sur des outils variés d’observation, d’expérimentation, d’analyse et de modélisation, l’unité répond plus spécifiquement aux objectifs suivants : décrire la biodiversité marine, comprendre sa dynamique et le fonctionnement des écosystèmes marins ; analyser l’impact des pressions anthropiques sur ces écosystèmes et développer des scenarii de réponses au changement global ; concilier exploitation (en particulier pêche et aquaculture) et conservation et répondre aux attentes sociétales (expertise, innovation, remédiation). Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : UM, IRD, CNRS, IFREMERPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Les recherches au sein de l’ISEM concernent l’origine et la dynamique de la biodiversité, ainsi que les modalités et les mécanismes de son évolution. Les chercheurs de cette unité s’intéressent tant à la biodiversité actuelle que passée, étudient un large éventail d’organismes et de milieux et allient des approches de terrain, expérimentales et théoriques. Ces recherches intègrent : les questions fondamentales de la biologie évolutive (adaptation, contraintes, spéciation, etc.) pour  comprendre  les mécanismes à l’origine de la biodiversité, de sa structuration et de son fonctionnement ; l’accélération des moyens de production de données et de la capacité à appréhender les différentes dimensions structurelles et fonctionnelles du vivant (du gène à l’écosystème), conduisant à une appréhension globale des mécanismes à l’origine de la biodiversité ; le questionnement scientifique et sociétal portant sur des réponses de la biodiversité (organismes et/ou communautés) vis-à-vis des changements planétaires et anthropiques. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, UM, IRDTutelles secondaires : CIRAD, EPHEPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcoles doctorales : Information, Structures, Systèmes ; Sciences Chimiques et Biologiques pour la Santé ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

L’UMR IPSIM cherche à élucider les mécanismes physiologiques qui gouvernent la nutrition hydrominérale des plantes et leurs réponses aux contraintes abiotiques et au changement climatique (stress hydrique, stress salin, carences minérales, toxicité métallique, CO2, températures élevées). Les programmes concernent les transports d’eau et d’ions minéraux chez les plantes, l’accumulation des minéraux dans les graines, les mécanismes de perception et de signalisation des contraintes environnementales et les réponses développementales à ces contraintes (surtout système racinaire). La démarche est celle de la biologie intégrative, qui combine des approches de biologie moléculaire et cellulaire, de biochimie et biophysique, de génomique fonctionnelle et de génétique, sur des plantes modèles (Arabidopsis thaliana) ou d’intérêt agronomique (maïs, riz, blé, vigne, lupin). Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, UM, INRAETutelle secondaire : Institut AgroPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Le laboratoire « Interactions Hôtes-Pathogènes-Environnements » (IHPE) est une Unité Mixte de Recherche (UMR 5244) dont les tutelles sont l’Université de Perpignan Via Domitia (UPVD), le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS / institut INEE), l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la MER (Ifremer) et l’Université de Montpellier (UM). Les personnels de ce laboratoire sont répartis sur les campus de l’Université de Perpignan via Domitia et de l’Université de Montpellier (faculté des sciences). Le laboratoire est membre des labex « Centre Méditerranéen Environnement et Biodiversité » (CeMEB) et « Vers une Théorie Unifiée des Interactions biotiques : rôLe des Pertubations environnementales » (TULIP) et est centre collaborateur de l’OMS pour son expertise sur les interactions hôtes/schistosomes (FRA-69). Notre UMR développe des approches intégratives sur des systèmes biologiques en interaction impliquant différentes espèces d’invertébrés : des invertébrés d’intérêt médical ou vétérinaire (mollusques gastéropodes), aquacole (mollusques bivalves) ou encore écologique (corail). Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, IFREMER, UPVDTutelle secondaire : UMPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

L’UMR IATE développe une approche scientifique pluridisciplinaire pour la caractérisation, la transformation et la valorisation des agro-ressources renouvelables issues des filières agricoles, forestières et agro-alimentaires. L’UMR s’intéresse en particulier à la structure et aux fonctionnalités des biopolymères et biomolécules. Son expertise pluridisciplinaire se situe à l’interface : biochimie ; physico-chimie ; génie des procédés ; biotechnologie ; chimie ; physique ; modélisation numérique et computationnelle. Les travaux de recherche abordent la complexité des agro-ressources à l’aide de méthodes analytiques performantes et la conception itinéraires technologiques originaux pour la transformation dans les domaines de l’agro-alimentaire, des matériaux biosourcés, de la biocatalyse et des bioénergies. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : UM, INRAE, Institut AgroPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcoles doctorales : Information, Structures, Systèmes ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

https://youtu.be/OqvXIyj1KbE HydroSciences Montpellier est un laboratoire UM-CNRS-IRD qui rassemble des compétences disciplinaires afin étudier, quantifier, prévoir les impacts du climat et des activités humaines sur les ressources en eau des régions méditerranéennes et tropicales. Les principales thématiques étudiées sont : le cycle de l’eau et les interactions aux différentes échelles dans le complexe atmosphère – végétation – sol – aquifère – rivière ; la caractérisation et la modélisation des transferts dans les milieux hétérogènes ; l’évolution des ressources en eau face aux changements globaux avec scénarios prospectifs complexes ; la dynamique des contaminants métalliques et émergents et les risques sanitaires et mécanismes d’adaptation des bactéries pathogènes hydriques. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, UM, IRDPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcoles doctorales : Sciences Chimiques et Biologiques pour la Santé ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

https://youtu.be/oGHe6l62Nsc Géosciences Montpellier est une unité de recherche multidisciplinaire, s’appuyant sur une large palette de métiers et d’expertises pour développer des connaissances nouvelles sur la géodynamique, l’environnement et les géoressources. Son activité est déclinée en 6 axes thématiques : Déformation : processus de déformation et effets de la déformation sur la dynamique terrestre, à toutes les échelles temporelles et spatiales ; Transferts et couplages : contrôles des couplages physiques et chimiques entre les différentes enveloppes de la Terre sur sa structure, sa composition et son évolution ; Terre primitive : relations entre l’évolution de la dynamique de la Terre, notamment l’initiation de la tectonique des plaques, et son habitabilité ; Aléas : processus et systèmes générateurs d’aléas géologiques : séismes, volcans, glissements de terrain, instabilités de surface, érosion et inondation du littoral ; Hydrosystèmes : rôle de l’eau dans la dynamique et les processus des hydrosystèmes en surface et en subsurface ; Ressources : Ressources minérales, fluides et énergétiques, pour un usage raisonné dans le contexte de la transition énergétique et de la lutte contre le réchauffement climatique. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, UMTutelle secondaire : U ANTILLESPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Des plantes tropicales constituent le cœur des travaux de recherche de l’unité DIADE. Ces travaux visent à comprendre la nature et le rôle des mécanismes de diversification structurale et fonctionnelle du génome des plantes tropicales. Les études portent aussi sur leur diversité et les structures de leurs populations, ainsi que les mécanismes d’adaptation aux variations naturelles ou aux modifications d’origine anthropique.Les recherches sont fondées principalement sur la génétique, l’épigénétique, la biologie du développement, la physiologie, la systématique, l’évolution, mais intègrent aussi d’autres approches telle que la modélisation, la télédétection, l’écologie, etc. Les études s’appuient généralement sur la confrontation de plantes modèles (riz, Arabidopsis, tomate, peuplier) et d’espèces d’intérêt agronomique ou écologique (caféiers, filaos, ignames, maïs, palmiers, mils).Les résultats de ces recherches contribuent à la production de connaissances fondamentales, mais aussi au développement de nouvelles stratégies visant à la sécurité alimentaire des communautés du Sud. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : UM, IRD, CIRADPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Les recherches développées dans l’unité DGIMI ont pour objectif de décrypter – par des approches intégratives – les interactions multitrophiques entre les insectes ravageurs et leur environnement, et les mécanismes d’adaptation à l’hôte, pour in fine contribuer à améliorer la protection des plantes vis-à-vis des ravageurs insectes. Les interactions entre l’insecte (modèle lépidoptère), son cortège de parasites et pathogènes et sa plante hôte, sont abordées dans l’unité au travers de plusieurs thèmes transversaux incluant :  les mécanismes moléculaires régissant ces interactions ; leur diversité ; et le rôle des microbiotes associés. L’expertise de l’unité DGIMI recouvre différents champs disciplinaires (microbiologie, virologie, immunité, génomique fonctionnelle, génomique des populations et génomique comparative) appliqués au modèle insecte et à l’étude des interactions multitrophiques. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : UM, INRAEPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

https://youtu.be/WVwaUyaEVEI?list=PL6WmOx60MnJe_iazdaxlxc1zC3Mx1K3Z0 Environnement, Solutions Ecologiques, Chimie durable innovante. Les ambitions du laboratoire ChimEco sont le développement d’une approche interdisciplinaire de l’écologie globale et de la chimie verte comme vecteur de développement durable. Les activités reposent sur la combinaison inhabituelle de phytotechnologies adaptées à la réhabilitation écologique de sites dégradés et la valorisation de ces procédés par une chimie verte innovante et bio-inspirée, l’écocatalyse. Expertises, compétences et savoir faire : Chimie du Vivant ; synthèse organique ; phytotechnologies : développement durable. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelle principale : CNRSTutelle secondaire : UMPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Sciences Chimiques BALARDPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Le projet du CEFE vise à comprendre la dynamique, le fonctionnement et l’évolution du vivant, de «la bactérie à l’éléphant », et « du génome à la planète ». Il s’appuie sur trois ambitions : comprendre le monde vivant pour anticiper ce que sera demain ; conduire à des innovations et répondre aux attentes de la société ; pratiquer une science « rassembleuse » et diverse dans ses approches disciplinaires. Les questions de recherche sont posées dans un contexte marqué par la prégnance des changements planétaires, le développement de nouvelles technologies de manipulation du vivant, et l’exigence croissante de la société pour  la recherche. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CNRS, UM, IRD, EPHETutelles secondaires : INRAE, Institut Agro, UPVMPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcoles doctorales : Information, Structures, Systèmes ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, Eau ; Territoires, Temps, Sociétés et DéveloppementPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

L’UMR AMAP est une unité interdisciplinaire qui travaille à l’acquisition de connaissances fondamentales sur les plantes et les végétations dans le but de prévoir la réponse des écosystèmes aux forçages environnementaux, en termes de distribution/conservation des espèces et de la biodiversité, production des cultures agronomiques, stockage du carbone dans la biomasse végétale, protection de l’environnement et des services écosystèmiques. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : UM, CIRAD, CNRS, INRAE, IRDPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcoles doctorales : Information, Structures, Systèmes ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : publications de la structure SITE WEB

Pour répondre aux grands enjeux de l'agriculture méditerranéenne et tropicale, l'unité Agap se donne comme ambition de mettre en synergie une grande diversité de compétences, d'approches et de ressources pour des plantes cultivées mieux adaptées à des agrosystèmes variés. Face aux grands défis globaux environnementaux et sociétaux de l’agriculture méditerranéenne et tropicale (sécurité alimentaire, durabilité des agro-systèmes, changement climatique, transition énergétique et écologique), Agap Institut mobilise et intègre ressources et connaissances sur : l’organisation et la diversité des génomes ; la gestion et la valorisation de l’agro-biodiversité ; les bases génétiques et fonctionnelles du développement et de l’adaptation à l’environnement ainsi que de la qualité des produits ; l’intégration des données et la modélisation (des plantes en peuplement) pour l’aide à la définition d’idéotypes variétaux ; les méthodologies les plus récentes de phénotypage et de génotypage ; l’intégration des connaissances vers l’innovation variétale et les méthodes de sélection innovantes. Au service d’une diversité de filières méditerranéennes et tropicales. Une vingtaine d’espèces méditerranéennes et tropicales sont prises en compte. Elles se répartissent en trois grands ensembles : espèces annuelles autogames (riz, blé, sorgho, coton, arachide), espèces à reproduction contrainte (agrumes, racines et tubercules, bananiers, canne à sucre), et espèces pérennes (eucalyptus, palmier à huile, pommier, vigne, olivier, hévéa, cacao). Ces espèces font pour la plupart l’objet d’une activité de création variétale. Pour répondre aux grands enjeux de l’agriculture : sécurité alimentaire, qualité des produits consommés et attente des consommateurs et des filières ; durabilité des agro-systèmes et réduction de leur vulnérabilité, en particulier dans le contexte de changement climatique ; transition écologique des agricultures pour réduire leur impact environnemental. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CIRAD, INRAE, Institut AgroTutelle secondaire : UMPôle de recherche : Agriculture, Environnement, Biodiversité – AEBÉcole doctorale : Information, Structures, Systèmes ; Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, EauPortail HAL : Publications de la structure SITE WEB

La diffusion de la culture scientifique se traduit par la transmission des connaissances, techniques et savoir-faire entre sciences et société. C’est l’une des missions des universités et c’est une démarche volontaire qui mobilise l’Université de Montpellier et sa communauté scientifique : chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants, … La culture scientifique foisonne d’acteurs et d’initiatives visant à repousser les frontières de la connaissance. Sa diffusion vise le partage, l’échange, l’expérience et le débat d’idées autour de questions scientifiques. A l’Université de Montpellier, elle s’illustre notamment par : La diffusion des savoirs scientifiques auprès du plus grand nombre La valorisation des métiers scientifiques et techniques auprès des jeunes Le développement des échanges et des partenariats La formation à la médiation scientifique (étudiants en master, doctorants) Les services de culture scientifique de l’UM coordonnent le dialogue entre science et société au travers de multiples événements, sur le réseau de campus de l’Université de Montpellier et hors les murs, pour un public de citoyens, d’étudiants, lycéens et scolaires. Pour cela, les équipes collaborent avec de nombreux partenaires : organismes de recherche, CCSTI, associations, centre culturels, institutions publiques et privées. Les actions phares Le Bar des sciences : la soif de savoir ! Les services Culture Scientifique proposent une saison annuelle de Bar des sciences sur des sujets sciences et société. Le Bar des sciences, produit par l’Université de Montpellier, en partenariat avec l’INRAE, l’INSERM et l’IRD, offre depuis plusieurs années des rendez-vous mensuels de culture scientifique contribuant au dialogue entre sciences et société. Aux antipodes de conférences formelles, ces débats sont des invitations aux échanges entre les spécialistes d’un sujet et le grand public. Replay sur la chaîne YouTube de l’UM La Fête de la science La Fête de la science est un événement annuel majeur de culture scientifique. Grâce à la mobilisation d’acteurs dans les Facultés, organismes de recherche, laboratoires, associations… les sciences s’exposent et prennent vie autour d’animations variées, surprenantes et étonnantes. L’Université de Montpellier coordonne l’événement à l’échelle du département de l’Hérault et pilote le Village des sciences de Montpellier implanté à la Faculté d’Education. Placé sous le signe de l’exploration et de la découverte, le village des sciences de Montpellier foisonne d’animations destinées aux petits comme aux grands : ateliers, démonstrations, expérimentations, jeux, projections, conférences… Une belle occasion de rencontres passionnantes, de partages de savoirs et de découvertes pour mieux comprendre le monde qui nous entoure et imaginer l’avenir ! Les temps forts du Village des Sciences 2020 proposés en format numérique sont à retrouver sur la chaîne YouTube de l’UM. Exposition « NounOURS, de l’ours des cavernes à l’ours en peluche » La prochaine exposition proposée par le service Culture Scientifique s’inscrit dans le prolongement de la peluchologie, opération de pédagogie originale et de vulgarisation scientifique imaginée en 2010. Conçue pour être itinérante, elle est constituée de panneaux muséographiques, vitrines d’objets, collections de livres et d’ours en peluche. Elle rend ainsi un bel hommage à cet animal noble et sacré, dieu déchu et roi des peluches : l’ours. Fiche projet expo nounours - Site web - Facebook Appel à projets Relation société-société Le Programme d’Excellence I-SITE comprend un volet de soutien aux actions « Relation science-société » qui se concrétise par un appel à projets ouvert à l’ensemble des établissements et organismes du consortium. Il s’inscrit dans une stratégie de diffusion de la recherche générée sur notre territoire et de ses enjeux, notamment auprès d’un public jeune ou scolaire (primaire à lycée) et vise à soutenir les initiatives innovantes de partage des savoirs, les dialogues, méthodes, résultats, enjeux et questionnement autour des thèmes scientifiques. Doté de 50 K€ sur deux campagnes (automne 2022 & automne 2023), il permet de soutenir chaque projet avec un financement pouvant aller jusqu’à 4 K€. En 2022, les projets retenus sont : Coup de projecteur sur la biodiversité (in)visible : la biodiversité inventoriée Le projet, porté Frédérique Carcaillet (Marbec) comporte 3 parties :  l’exposition « Biodiversité inventoriée », deuxième volet de l’exposition « Coup de projecteur sur la biodiversité (in)visible », un évènement autour de la projection du film documentaire « Discrètes sentinelles -Conservation communautaire » et la mise à disposition d’un outil pédagogique d’accompagnement à la visite de l’exposition pour les lycéens. Ce projet a pour objectif de faire découvrir au public lycéen les savoirs, savoir-faire et métiers en lien avec l’étude de la biodiversité et ceci grâce à des exemples concrets issus de la communauté du programme d’excellence ISITE. Découverte et partage multi-sensorielle des bois et de leur biodiversité Le projet présenté par Sandrine Bardet (LMGC) et Kevin Candelier (BioWooEB) porte sur sensibilisation du jeune public à la biodiversité des forêts – arbres – bois en posant la question : Comment la valoriser au travers de service rendu à l’homme tout en la préservant ? Par le biais d’ateliers conduits en classes et sur le terrain, les jeunes élèves seront invités à mettre leur sens en éveil (observer, toucher, sentir et écouter) pour découvrir et comprendre la biodiversité végétale qui les entoure : comment les arbres grandissent, pourquoi sont-ils différents, comment l’arbre produit du bois, quels sont les services rendus par la forêt et les usages possibles du matériau bois ? Cet accompagnement scientifique sera mené dans une classe de Montpellier et une classe de Kourou (Guyane), toutes deux issues de Réseaux d'Education Prioritaire, avec pour objectif de mettre en relation les élèves et les enseignants de ces deux zones géographiques et les faire travailler ensemble sur un projet scientifique commun, mais avec des ressources naturelles et des besoins locaux totalement différents. Mise en place d’activités expérimentales autour du traitement de l’eau dans le cadre des cordées de la réussite EAU Ce projet, porté par Julie Mendret (IEM), repose sur de la médiation scientifique autour des sciences de l’eau. Il vise à mettre en lien des collégiens et lycéens de Lozère avec des chercheurs et étudiants de l’Université de Montpellier dans le cadre de la cordée de la réussite EAU : Encordés A l’Université. A travers ce projet, il s’agira de mettre en place des activités expérimentales associées au traitement et à la qualité de l’eau et de prendre en charge les missions que cela implique. AtelierS et médiation en CHimie pOur Le secondAiRe (SCHOLAR) Le projet, porté par Jean-Yves Winum et Jean-Sébastien Filhol (IBMM), s’inscrit dans le contexte du renforcement des ateliers de découvertes scientifiques mis en place en 2022 par le groupe de Physique-Chimie de l’IRES en permettant la création de nouveaux contenus de médiation scientifique auprès des élèves de collège et de lycée, incluant de nouvelles thématiques d’ateliers et des présentations associées. Il a de plus pour but de donner une dimension découverte de la recherche à ces ateliers en présentant celle issue des instituts du Pôle Chimie Balard dans le domaine des matériaux innovants, des pigments et des colorants, pour des applications high-techs et dans le domaine de la santé. Accompagnement Numérique de l’Orientation avec des Graines d’Information (ANOGI) Ce projet, porté par Chrysta Pelissier et Jean Moutouh (IUT de Béziers) vise à valoriser une démarche réflexive instrumentée par le numérique pouvant être menée par les collégiens / lycéens lozériens dans le cadre d’activités dédiées à leur orientation. Certains de ces apprenants souffrent d’inégalités sociales, genrées, socio-culturelles ayant pour conséquence une autocensure ou peu d’intérêt pour les activités liées à leur orientation. La démarche innovante proposée prend appui sur des travaux de recherche issus du domaine de l’information et de la communication et des sciences du langage. Elle a pour enjeu de développer et transmettre une pédagogie de l’orientation innovante, ouvrant notamment le débat entre les apprenants et entre l’apprenant et ses enseignants.